Bio

Ai commencé d’écrire un texte sur la couleur,
Quand la couleur t’éclabousse parfaitement au hasard de n’importe quel coin où tu l’avais oubliée, Ce qui ne peut pas survenir en regardant la mer, non plus dans le paysage, mais justement dans la ville où tu agites tant à la fois de pensées et matérialistes et sentimentales, et de cogitations tout simplement, de petits ou plus grands arrangements, que tu t’en viens à traverser la ville comme un plan, ne regardant presque le tracé des rues, ou les immeubles comme des objets, ou les lieux comme bornes de repères, sans regarder d’ailleurs, trimbalant déjà ces rues, ces objets dans ta mémoire, et les identifiant de la même sorte que les passages piétons.

Expositions collectives :

Salon de Montrouge - 1990 / 1993
13ème Art - 1992 / 1993 / 1994
Portes ouvertes :
1997 / 2000 / 01 / 06 / 07 / 08 /
09 / 11 / 13 / 14
CAC de Niort - 1993
Ateliers ouverts 20ème - 1995 / 1996
Mac 2000 - Paris 2005

Expositions individuelles :

Galerie Michèle Heyraud - Paris 1992
Galerie Dix - Nice 2001
Hall des dames - Marseille 2002
Pascale Tissier invite - Paris 2004
Galerie du Chien noir - Paris 2004
Galerie du Loup - Bordeaux 2005 /
2007 / 2008
Galerie du Montparnasse Paris - 2009
Galerie Couteron - Paris 2010

VESCOVATO, Panorama de la Corse
Une carte venue dans le même retour que le pot de sable vert du Cap ?

A l'ombre du doigt, été 91, la légende de la femme à la chambre tapissée d'ex-voto questionnait sur un tel possible, la nature des Voeux laissant l'imaginaire de l'inculte vaquer dans la lumière des murs aux voeux les plus farfelus. Une chambre-tombeau, les pieds vers la mer, recélant la chronologie du désir, de la vie quotidienne, des plaques d'épaisseur diverse selon le prix du voeu, l'agencement requis, (une plaque, deux plaques, trois plaques,) révélaient l'énigmatique histoire. Sous le calendrier, Quels visages ? Quels cieux ? Quelles terres ? Quelles affaires ?
L'archéologue impie scrutait les étoiles.


Sable vert du Cap Corse, papier mâché,
colle-craie, pigments

Le petit cirque des cintres
Déformation d’un objet de consommation quotidienne, donc utile, pauvre, abondant, fabriqué en séries, identique, d’une forme spécifique, mesurée et fermée, en une forme ou une non-forme qui, quoi qu’il en soit raconte une histoire. En distordant le fer d’un ceintre de teinturerie, on réalise d’autres formes identifiables, personnages, décors, monstres, insectes, mouvements.

Cintres déformés
Œufs à la ligne

L'atelier - rue d’Arcueil - Paris

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